seven deadly sins
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


forum rpg
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon : la prochaine extension Pokémon sera EV6.5 Fable ...
Voir le deal

 

 [2010] Lysander Cavendish - The noble soul reveres itself [SERPENTARD]

Aller en bas 
AuteurMessage
Blue

Blue


Messages : 167
Pêchés accomplis : 290
Date d'inscription : 31/07/2020

[2010] Lysander Cavendish - The noble soul reveres itself [SERPENTARD] Empty
MessageSujet: [2010] Lysander Cavendish - The noble soul reveres itself [SERPENTARD]   [2010] Lysander Cavendish - The noble soul reveres itself [SERPENTARD] Icon_minitimeJeu 18 Fév - 13:53


Lord Lysander B. M. Cavendish


Carte d'identité

[2010] Lysander Cavendish - The noble soul reveres itself [SERPENTARD] 2r5tjmd
  • • Nom : Cavendish
    • Prénom : Lysander Barnaby Marmaduke
    • Titre : Duke of Devonshire
    • Âge et date de naissance : 29 février 2010
    • Maison ou profession : Serpentard
    • Sang : Bleu Né-moldu
    • Baguette : Baguette de laurier et épine de monstre du fleuve blanc
    • Patronus : Runespoor
    • Epouvantard : Un trophée en argent


Caractère et trait distinctif

Mes camarades de classe - de Poudlard comme de Whitgift - et les adultes qui me voient de loin vous diront, pour la plupart, que je suis un garçon tout à fait charmant. Paisible et travailleur. Erudit et athlète. Généreux et... Pffff, généreux ? Moi ? Laissez moi rire.
Ca, ce n'est que la surface du lac. Ce que je veux bien que les gens voient. Ce "garçon charmant" à qui ont donnerait le bon dieu sans confession.
La vérité ? Oui, je suis intelligent et travailleur... Mais aussi fourbe, manipulateur et hypocrite. J'ai une ambition si grande qu'elle ne devrait même pas tenir dans le gigantesque château de Chatsworth House. Je suis égoïste et je place toujours mes intérêts en premier - et si je vous aide, attendez-vous à me devoir une faveur !

Et pourtant... est-ce qu'au fond de moi, quelque part, il y aurait toujours ce petit garçon qui aimait rire et explorer ? Ce garçon qui, s'il s'attachait à quelqu'un, ne reculerait devant rien pour les protéger ?
Je suis convaincu du contraire... Mais je peux me tromper !
Autobiographie
Les faits sont simples : le 6 mars 2009, Algernon Humphrey Montgomery Cavendish, héritier du Duc de Devonshire, a épousé, par devoir, la Princesse Monaveen du Luxembourg, dix-huitième dans la ligne de succession de son pays. (Bon vous faites pas de films hein, c’est une cousine très très très éloignée du roi, je pense même qu’en la voyant à une soirée il devrait réfléchir pour se rappeler de son nom). Ils se sont rencontrés exactement trois fois entre le bal de leurs fiançailles et leurs fastueuses noces.
Quoi, vous en vouliez plus ? Vous vouliez entendre parler de chacune de leurs rencontres et de tous leurs malentendus ? Et bien dans ce cas, je ne peux que vous orienter vers Algernon H. M. Cavendish - Mémoires d'un duc dans une société post-moderne.

Ils se sont installés au château de Lismore en Irlande, l’une des quatre propriétés de la famille Cavendish, avec une petite vingtaine de domestiques. Au début, ils ont décidé de s'astreindre, bon gré mal gré, à une entrevue tous les mardis et tous les vendredis - dans l'espoir d'avoir un héritier au plus vite. Mais ils se sont très vite rendu compte qu’ils avaient certains points communs. Au final, ils ont appris, sinon à s'aimer, du moins à se respecter et même à s'apprécier.

Je suis né le 29 février 2010, et sans vouloir me vanter, j'ai été efficace ! Le temps que les sages-femmes escortent ma mère jusqu'à son lit - il aurait été indécent de survenir en plein couloir tout de même - et en quelques minutes je venais au monde.
Il parait que je ne pleurais pas. Je me contentais de regarder les gens avec mon sourire mignon - que voulez vous ! A cet âge déjà, je savais y faire avec les adultes !

J’ai grandi entouré d’une floppée de nourrices. Mes parents étaient très occupés - mon père par son poste de Chancellier de l'université de Galway, ma mère par ses oeuvres de charité - et moi j'étais filou comme pas deux et j'arrivais toujours à subtiliser des friandises ou à me sauver pour aller jouer en toute impunité. J'étais un gosse à qui on aurait donné le bon dieu sans confession !
L’année d’après est né mon petit frère, Clarence. Il était mignon, mais ne s’en sortait jamais aussi bien que moi même s’il était plus jeune - moins discret, moins rusé.

J'avais cinq ans et demi lorsque mon père est décédé. On m’a félicité pour mon stoïcisme à l’enterrement - mais en vérité, c’était surtout que mon père, je ne le connaissais pas ! Enfin, à peine de vue !
Mon grand père étant toujours Duc de Devonshire, cela a fait de moi le nouveau Marquis de Hartington. Nous sommes allés vivre dans le fief ancestral : Chatsworth House en Angleterre - ma mère enceinte, mon petit frère et moi.
Et ce château ou nous allions, mes grands-parents, je ne les connaissais pas non plus. Nous les visitions chaque année pendant trois jours à Noël, c’était tout. Mais à mes yeux d’enfant, ce déménagement, c’était toute une aventure ! Et le château représentait un gigantesque nouveau terrain de jeu !

Mais mes espoirs ont vite été douchés ! Car le Duc de Devonshire - que je devais appeler “Lord Cavendish” lorsqu’il me parlait - et la duchesse, Lady Rosamund Imogen Cavendish, née Herbert - qui m’avait autorisé, dans un élan de générosité à l’appeler “Grand-Maman” - étaient d’une autre rigueur que mes parents. Lord Cavendish a eu avec moi une conversation très brève pour m’expliquer qu’il était un homme très occupé, qu’il laisserait Grand-Maman superviser mon éducation, et que s’il devait un jour être déranger sans ses travaux pour des incartades, je serais sévèrement puni.
Ma grand-mère paternelle a trouvé mes manières déplorables - alors même que je croyais être plutôt poli comme gamin. Elle a renvoyé mes nourrices et a recruté à la place un précepteur, Monsieur Dowell, pour m'enseigner la lecture, l'écriture, les mathématiques, le grec et le latin, l'étiquette, et toutes les autres choses qu’un jeune homme bien né doit savoir. A partir de l’année suivante, j'ai aussi eu un maitre de danse et d'escrime.

Grand-Maman m'a expliqué très clairement que l'on m'élevait dans un seul but : l'excellence ! Je serais un jour Duc de Cavendish, et je devais faire honneur à la longue lignée des Cavendish. Et mon précepteur, me le répétait sans cesse : je faisais partie des 1%, le monde était à mes pieds et je méritais tous les privilèges - mais que je devais m'en montrer digne et l'échec ne serait jamais acceptable. Être second à quelque chose, c’était être un perdant !
Et à chaque fois que je parlais à Grand-Maman - aux repas je ne devais pas interrompre les adultes, mais elle prenait le thé avec moi une fois par mois pour évaluer mes progrès - elle me le rappelait encore et encore. Si elle n'était pas satisfaite de quelque chose, elle me rappelait qu'elle attendait mieux - et j’allais au lit sans souper. Et si j'avais répondu à ses attentes, elle me rappelait qu'il fallait aspirer à faire toujours mieux. Cependant dans l'ensemble, j'étais très doué pour éviter les vrais, gros ennuis.
Bien moins que mon frère d’ailleurs qui, lui, était un aimant à problèmes.

Je compris très vite ma mère et Grand-Maman ne se supportaient pas - chacune convaincue que l'autre empiétait sur son territoire ! Et j'ai réalisé autre chose : en les montant l'une contre l'autre, je pouvais avoir tout ce que je voulais (enfin, presque) ! Que ce soit directement (en obtenant quelque chose de l'une qu'elle donnait pour contrarier l'autre) ou indirectement, en faisant ce que je voulais pendant qu'elles étaient trop occupées à se crêper civilement le chignon pour me prêter la moindre attention. A vrai dire, j’ai plus appris sur la politique et les manipulations avec elles qu’avec Monsieur Dowell !

Et finalement, en 2018, je suis entré à l'école de Whitgift. Une institution prestigieuse fondée en 1596, accueillant des garçons de 10 à 18 ans. Vous avez bien compté, j’avais huit ans. Mais Grand-Maman leur a offert des équipements de golf flambants neuf pour m’obtenir le droit de passer l’examen d’entrée. Ensuite, j’avais largement le niveau - merci monsieur le précepteur - donc j’ai été admis en sixième année (CM2).
Soudain, interne, je bénéficiais d'une liberté toute neuve, sans l'oeil acerbe de M. Dowell rivé sur moi. Mais cette liberté, je ne savais même plus comment en profiter. Moi qui avais été un gamin si espiègle, si friand d’explorations et de découverte je ne pensais qu'à tirer mon épingle du jeu, à être le meilleur à tout prix - et à faire un jour la fierté de ce grand-père qui ne m’octroyait jamais un regard, et de Grand-Maman qui ne concédait mes réussites que du bout des lèvres.

Vous vous en doutez, mes camarades de classe ont très, très mal pris de se retrouver avec un “gamin” de huit ans. Ils ont essayé de me remettre à ma place en classe, mais j'avais réponse à tout, et ils ne pouvaient que rager en regardant mon sourire innocent devenir un rictus satisfait dès que les profs avaient le dos tourné.
Et puis l’un d’eux m'a provoqué en duel - non, je vous vois venir : un duel au fleuret ! Dans le parc, sous la supervision du prof d'escrime.

Vous avez vraiment besoin que je précise que je l'ai laminé ?
Il en faisait depuis trois semaines et moi depuis plus d’un an !

Bon, évidemment, ça ne lui a pas trop trop plu, comme vous pouvez vous en douter.
Et la nuit suivante, ils sont venus à cinq me sortir du lit... Au début, j'ai cru à un bizutage - ce type ne m'avait pas vraiment impressionné - mais fini par comprendre qu'il s'agissait d'une vengeance. En tout cas, je me débattais comme un diable ! Je n'avais qu'une envie : leur enfoncer leur morgue bien profond dans le gosier !

Et soudain, justement, leurs gosiers se sont mis à s'agiter d'un seul coup... Et ils ont commencé à cracher d'énormes limaces !
Et moi, je me suis barré dans mon lit en les abandonnant à leur sort. Pas mon problème s’ils étaient malades !
Bon, apparemment, le temps qu'un adulte les trouve, ils avaient la nausée mais ils ne crachaient plus de limaces… Qui étaient d'ailleurs parties (ou avaient disparu). Donc ils ont eu des ennuis pour être hors de leur lit et ils sont allés à l'infirmerie. Et comme ils ne voulaient pas avouer qu'ils étaient en train de m'embarquer quelque part, on en a plus reparlé.
Mais après ça, ils m'ont laissé tranquille. Et moi, j'ai rejoint l'équipe de pentathlon et j'ai commencé à réseauter l'air de rien avec les élèves de septième (6°) et de huitième année (5°).
Dans un école comme Whitgift, les intellos, c'est populaire ! Et les intellos athlètes encore plus. Et, si les jeunes de ma classe étaient jaloux, les plus âgés eux ne se sentaient pas menacés, et appréciaient donc mon potentiel et le prestique que je pouvais amener à cette noble école ! Surtout ceux qui comprenaient déjà qu’ils avaient tout intérêt à faire ami-ami avec un futur duc.

Mais, tout en jouant l'élève modèle, je passais beaucoup de temps à la bibliothèque - et pas pour potasser mes maths, mon anglais, mes divers cours de culture générale ou mes quatre langues vivantes et deux langues mortes - même si c'est sans doute ce que les autres croyaient.
Non, je faisais des recherches pour savoir quelle drôle de maladie aurait bien pu forcer cinq garçons à vomir des limaces ! J'étais très perturbé par cet évènement qui n'avait aucune rationnalité !

Et puis il y a eu un autre incident. L’année suivante, lors de ma première compétition de pentathlon, un type a essayé de tricher. Après l'attribution des montures par tirage au sort, il a essayé de blesser le Holstein qu'on m'avait attribué - mais je l'ai surpris à temps. On a commencé à s'engueuler, il a voulu me frapper - et d'un coup, il s'est mis à danser sans pouvoir s'arrêter. Et il m'a demandé "Mais qu'est-ce que tu m'as fait ?" "Mais qu'est-ce que tu m'as fait ?"

A mon retour de ce tournoi, j'ai beaucoup, beaucoup réfléchi. Est-ce que c'était une blague ? Mais il avait l'air vraiment paniqué, et puis, il n'avait rien à gagner à danser pendant tout le reste du tournoi... D'ailleurs il avait fini par s'effondrer d'épuisement apparemment... Alors, est-ce que c'était vraiment moi qui lui avais fait ça ? Mais comment ? Mes recherches n'ont bien sûr pas abouti, et plus le temps passait, et plus j'étais frustré ! J'avais bien trouvé quelque chose sur les "épidémies de danse" ou "peste dansante", qui pour certains était une forme de psychose collective et pour d'autre une malédiction jetée par Saint John ou Saint Vitus - mais ça ne m'aidait pas vraiment...

Et les incidents ont commencé à se multiplier… Un type qui s'est mis à babiller des trucs incohérents. Des gens qui trébuchaient tous seuls. Un type que j’ai poussé et qui a fait un bond qui n’était pas humainement possible… Que des choses juste à la frontière du bizarre, mais pas tout à fait surnaturelles non plus.

Mon grand-père est mort en mars, l’année de mes dix ans. Exceptionnellement, au vu de ma situation exceptionnelle, on m’a laissé la fin de l’année scolaire pour mettre les affaires en ordre… Après tout, il y avait plus qu’un enterrement : j’étais désormais Duc de Devonshire, et ça, ça ne s’improvise pas.

Grand-Maman m’a annoncé qu’elle allait maintenir les affaires en ordre pour le moment. Que je devais me concentrer sur mes études. Elle avait prévu pour moi un parcours tout tracé - et à mes dix-huit ans, je pourrais siéger dans la Chambre des Lords tout en menant mes études universitaires à Cambridge (surtout pas Oxford, qu’elle abhorrait), mais en attendant je devais suivre le parcours qu’elle m’avait tracé ! Et garder un oeil sur Clarence, qui à neuf ans allait faire sa rentrée à Whitgift en septembre, en m’assurant qu’aucun de nous ne jette l’opprobre sur notre famille ! Et que surtout je devais me concentrer pour être le meilleur en tout et toujours !

Et puis à la fin de l’été, quelque jours avant notre départ pour l’école, j’ai surpris une conversation entre mon frère et ma mère. Conforté par le mépris que lui vouait Grand-Maman, Clarence lui parlait comme à une moins-que-rien ! Non mais de quel droit ?! C’est notre mère ça jeune homme, et si tu n’as aucun respect pour la famille, c’est une princesse de surcroît ! Et Grand-Maman avait dit que j’étais responsable de lui, alors je l’ai pris à l’écart et remis à sa place ! Une bonne grosse engueulade. Le ton est monté, et d’un coup, son pantalon a pris feu - de grosses flammes violettes super bizarres !
Il s’est secoué et a couru dans toute la pièce comme un damné. Les gens ont accouru, mais dès que la porte s’est ouverte, le feu a disparu et son pantalon était intact ! Alors évidemment, personne n’a cru ses bobards, et Grand-Maman l’a puni doublement pour ne pas m’avoir écouté et pour raconter des mensonges invraisemblables - même si je la soupçonne d’être parfaitement d’accord avec ce traitement de notre mère.

Et finalement nous sommes retournés à l’école. Il y a eu d’autres incidents au cours de l’année, mais je suis parvenu à les dissimuler. J’étais dans l’équipe de pentathlon du secondaire malgré mon jeune âge, j’excellais toujours en cours, je présidais le club de rhétorique junior - et, secrètement, je devenais fou que mes recherches sur les phénomènes étranges qui survenaient autour de moi ne mènent à rien de concret.
Et nous sommes rentrés pour l’été. Pour la première fois, Grand-Maman et ma mère étaient d’accord sur un point : leur satisfaction à mon égard. Je faisais honneur à la grande lignée des Cavendish !

Au cours de l’été, le Professeur Natanael Lestrange de l’école Poudlard est venu pour annoncer mon entrée à Poudlard à ma famille, mais ceci est une histoire que je vous raconterais un autre jour.

Quoi qu’il en soit, le 1er septembre 2021, équipé du meilleur matériel que j’avais pu trouver au Chemin de Traverse et d’une quantité de livres faramineuse, je faisais ma rentrée à Poudlard.
Une école sacrément bizarre, où un vieux chapeau puant a décidé qu’un jeune homme aussi ambitieux et malin que moi ne pouvait avoir sa place qu’à Serpentard ! J’ai reçu un accueil mitigé - les nés-moldus allaient de l’admiration à l’indifférence en passant par la curiosité, les sang-purs de l’indifférence au mépris total pour la plupart.
Mais je n’ai pas tardé à montrer que du talent, né-moldu ou pas, j’en avais à revendre ! Au point d’attirer l’attention d’un certain nombres de professeurs - surpris de trouver un tel potentiel chez un né-moldu (mais que voulez-vous ? Ma compétence première, c’est la réussite !). Mais aussi du directeur… Qui, assez discrètement à vrai dire, m’invitait de temps à autre à prendre le thé avec lui… Ca ne m’a pas surpris, en fait ! Ben oui, quand on est duc, forcément, tout le monde veut vous connaitre ! Un duc, c’est une star, la classe et la noblesse en plus !

Mon retour aux vacances a été extrêmement tendu ! Je soupçonne Grand-Maman de chercher un moyen - légal, pas criminel - pour se débarrasser de moi et faire de mon frère le duc… Mais ça jamais ! Ce petit con arrogant n’occupera jamais la place qui me revient de droit. Je suis Duc de Devonshire et je les resterais jusqu’à ma mort…
Mais bon, vous l’aurez compris, ils ont un gros problème avec ces histoires de magie… Sauf ma mère, qui m’a accepté très ouvertement et s’est montrée bien plus disponible qu’à l’ordinaire pour passer du temps avec moi !

En deuxième année, j’ai passé les sélections de l’équipe de Quidditch, pour devenir gardien, après forte réflexion. Oui, parce que l’excellence passe par un post unique ! Et l’attrapeuse, on en avait déjà une, c’était notre capitaine ! Les poursuiveurs, il y en avait trois et les batteurs deux, alors je refusais de me noyer dans la masse… Donc j’ai fait les essais comme guardien et j’ai été pris. J’ai eu l’impression, à voir la façon dont Aurora étudiait les joueurs, qu’on était assez semblables elle et moi - et qu’elle avait un oeil d’aigle pour le talent ! Je l’avais déjà repéré, cette fille, d’ailleurs - difficile de la manquer. J’étais surpris, d’ailleurs, qu’elle ne soit pas préfète - elle en avait la prestance.

C’est officiel, mon frère est un moldu. Depuis qu’il le sait, il en profite pour essayer de me prendre de haut - mais il a quand même peur quand je le rappelle à l’ordre.
Grand-Maman, elle, est plus ambigüe… Elle ne tolère jamais les remarques de Clarence, mais je crois que son problème est surtout que nous devons présenter les apparences d’une famille unie… Il n’empêche qu’elle me regarde différemment. Pas avec dégoût comme lui - ce dégoût, c’est de la jalousie, j’en suis certain - mais avec une forme de déception mêlée d’irritation… Comme si j’avais fait un choix de vie bizarre, genre me teindre les cheveux en rose ou porter des t-shirts de groupes de rock à des soirées mondaines…
Mais je lui prouverais, un jour ! Je deviendrais le plus grand sorcier depuis Merlin ! Et je mettrais mes talents de sorcier au service de ma fonction dans le Duc de Devonshire.
Peut-être qu’elle sera satisfaite, alors - et si elle ne l’est pas, c’est son problème ! Moi, je sais que j’ai tout pour être un vainqueur !

Qui tire les ficelles des personnages ?

[2010] Lysander Cavendish - The noble soul reveres itself [SERPENTARD] 68747470733a2f2f73332e616d617a6f6e6177732e636f6d2f776174747061642d6d656469612d736572766963652f53746f7279496d6167652f615f62504e6c6737594a446157513d3d2d3733343436373431342e313561303364396232303263313430633131303835383731373531392e6a7067
  • • Surnom :
    • Age :
    • Localisation :
    • Fréquence de connexion : .../7
    • Un dernière chose ? :
Revenir en haut Aller en bas
 
[2010] Lysander Cavendish - The noble soul reveres itself [SERPENTARD]
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» P.V Serpentard
» [2010] Runa Lestrange - You made me believe in magic

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
seven deadly sins  :: lois et nouvelles de ce monde :: mise a nue face au Choipeaux :: Présentation du personnage-
Sauter vers: