seven deadly sins
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 Les enfants Cassiopold

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Blue

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Les enfants Cassiopold Empty
MessageSujet: Les enfants Cassiopold   Les enfants Cassiopold Icon_minitimeMar 9 Mar - 16:17


PRENOM & NOM


Carte d'identité

Les enfants Cassiopold 2r5tjmd
  • • Nom :
    • Prénom :
    • Âge et date de naissance :
    • Maison ou profession :
    • Sang :
    • Rang : (pro-Jedusor ou sept vertus ?)
    • Baguette :
    • Patronus : (à partir de la quatrième année)
    • Epouvantard :


Caractère et trait distinctif

Décrivez votre caractère et vos traits distinctifs 15 lignes minimum.
Autobiographie

Il fait noir et la maison est paisible. Elle porte, pourtant, les traces d'une journée bien animée. A la cuisine, ce soir, c'est un homme, un beau brun ténébreux, qui s'affaire à ranger les restes du souper. A l'étage, l'une des fenêtres est encore illuminée. Approchons-nous doucement pour les observer - mais prenez bien garde à ne pas vous faire surprendre. Dans cette chambre, il y a deux lits jumeaux, et dans chacun de ces lits est blotti un enfant. Assise en tailleurs entre ces lits, il y a une femme, une femme dont les cheveux sont de toutes les couleurs de l'arc-en-ciel. Ses traits sont tirés, plus que ceux des enfants. Mais la joie sereine de ce moment semble l'illuminer de l'intérieur.

Les gamins, eux, sont encore surexcités, et attendant avec impatience leur histoire du soir.
- Maman ? Maman, montre-nous encore les étoiles ! réclame-t-on dans le lit de droite.
- Pas ce soir, mon coeur. Il pleut, et avec les nuages, on y verra rien. répond la mère en souriant.
- S'il te plait, maman ! Raconte-nous comment tu as connu papa ! renchérit-on dans le lit de gauche.
- Très bien. Mais après, vous me promettez de dormir, d'accord ?

Les enfants hochent sagement la tête, et leur mère prend une grande inspiration. Après tout, les enfants ont bien le droit de connaitre cette histoire, avec ses hauts et ses bas - presque tous ses bas. C'est aussi le début de leur histoire à eux, après tout.
- Il était une fois...
La mère a intérêt à commencer ses histoires par "il était une fois", elle ne le sait que trop. Ses enfants sont rusés. Si elle oublie, ils finissent toujours par protester que l'histoire "ne compte pas" pour la lui faire recommencer, en général juste avant la fin et l'heure du coucher.

- Il était une fois une jeune et jolie moldue qui s'appelait Leona.
- Oh, elle parle de mamie ! s'extasia-t-on dans le lit de gauche.
- Chut ! protesta-t-on dans le lit de droite.
La jeune femme sourit et hocha la tête.
- Oui, mon ange, c'était mamie. Leona, donc, était antiquaire dans un joli village du pays de Galles. Un jour, elle dut partir à Londres pour vider la maison de son vieil oncle Eustache. Pendant qu'elle était à Londres, un jour où il pleuvait très très fort, elle fut bousculée par un homme. Elle cassa son talon et elle renversa son sac. Une montagne de vieux livres tomba sur le trottoir !
La mère était une conteuse expressive, tant dans sa voix que dans ses grands gestes. Les deux enfants lâchèrent un petit bruit de surprise.

- Et le monsieur, c'était grand-père ? s'exclama-t-on à gauche.
- Mais chuuuteuh ! murmura-t-on à droite.
- Oui, mon trésor, c'était grand-père. Heureusement, cet homme était un gentleman ! Il l'aida à se relever et à ramasser toutes ses affaires. Et pour se faire pardonner, il l'invita à boire un café. Et tous les deux, ils tombèrent amoureux. Et quand on est amoureux, parfois...
- Quand on est amoureux ça donne beaucoup de bébés ! répondirent les deux enfants en choeur.

Leur mère éclata de rire.
- Et voilà, vous avez tout compris ! Sauf que finalement, Leona avait fini de vider la maison de tonton Eustache. Et alors, elle est rentrée chez elle, au Pays de Galles, et son amoureux, et bien... Il est resté à Londres. Et quand elle a compris qu'elle était enceinte, elle était partie depuis longtemps.
Comment expliquer à de jeunes enfants qu'au début, son père, leur grand-père, ne voulait pas d'elle ? Qu'il avait offert à Leona de l'argent contre son silence, et qu'elle ne l'avait intéressé que lorsque ses pouvoirs s'étaient manifestés ?

- Mon père était un sorcier, et il venait d'une famille de sang-purs - comme votre papa. Alors, comme dans beaucoup de familles sang-purs, c'étaient ses parents qui lui avaient choisi une femme, et il était marié depuis longtemps.
- Comme papa a failli faire avec tante Rory! commenta l'enfant du lit de droite, faisant référence aux fiançailles temporaires de son père avec la propre demi-soeur de sa mère.
- Oui mais ça c'est aprèèèès ! protesta celui de gauche.
- C'est vrai, un peu comme ça, oui. Sauf que votre grand-père Alastair, il s'est vraiment marié.
- Avec Cressi la moche !!! s'exclama-t-on sur la gauche, suscitant un éclat de rire à droite.
La femme pouffa carrément. Cressi la moche. Ca la faisait toujours bien rire. Elle était certaine que son époux n'était pas indifférent à ce surnom.

- Avec Cressida, oui. Et il ne pouvait pas vraiment lui dire qu'il avait une amoureuse qui n'était pas elle... Alors, il s'est mis d'accord avec Leona : il l'a aidée à m'élever, mais il est resté à Londres et n'est pas venu me voir. Et du coup, Leona a élevé sa fille parmi les moldus.
- Haaaan mais comment elle a fait ?! Tu devais faire tout tout plein de magie non? demanda-t-on à gauche.
- Pas mal, oui. J'ai lévité au-dessus de mon berçeau une fois. Leona pensait qu'elle devenait complètement folle. Et puis ça s'est calmé un peu le temps que j'arrive à la maternelle.
- Et c'était bien, chez mamie ? demande-t-on ensuite à droite.
- Ben oui ! Chez mamie c'est toujooouuurs bien ! s'enthousiasme-t-on à gauche.
Elle sourit. Ses enfants connaissent bien leur grand-mère.

- Et puis un jour, au CE1, j'ai refait de la magie.
- A un vilain pas beau ! s'exclama-t-on à gauche.
- Hé ! Tonton Brad il est gentil en vrai ! corrigea-t-on à droite.
- Ben oui mais ça rend bien dans l'histoire... grommela-t-on à gauche en réponse.
Ah, ces enfants ! En général, leur mère s'amusait beaucoup lors des histoires, et tout particulièrement de celle-ci.
- Le vilain pas beau... reprit-elle en regardant ses enfants avec amusement. N'était pas si moche que sa, mais c'est vrai qu'il n'était pas très gentil. Il poussait les autres enfants et il leur volait leur goûter !
L'histoire était toujours aussi expressive, et l'enfant de gauche se cramponna à son doudou comme si l'on allait le lui prendre.

- Et il a commencé à se passer des choses bizarres dans cette école... Un lundi, les lacets de Brad s'emmêlaient tout seuls... Le mardi, ça le grattait partout... Et le jeudi, une araignée lui tombait sur la tête...Les rires des enfants à chaque péripétie se changèrent en grimaces sonores de dégoût.
- Beeeeuuurk !
- Et puis un jour, un vendredi d'ailleurs, il a essayé de forcer un garçon à boire dans une flaque d'eau. Et moi, je me suis fâchée tout rouge !
- Et vous vous êtes disputés et tu l'as poussé très fort avec la magie ! Comme ça ! s'exclama l'enfant de gauche en propulsant son oreiller très fort - avec ses deux petites mains.
Leur mère le rattrappa avec aisance, avant qu'il ne risque d'heurter l'autre enfant.
- Un peu comme ça, oui. Mais fais attention, je te l'ai déjà dit. N'oublie pas, tonton Brad, je lui ai cassé le bras...
L'enfant de droite appuya ces paroles d'un hochement de tête vigoureux.
- Oui maman...

- Alors, j'ai été punie à l'école... Et ma maman ne m'a pas crue... Et on s'est disputées très fort. Et là,
- T'as cassé le vase ! s'écria-t-on à gauche.
- Oui, j'ai cassé un vase par magie. Et du coup, maman m'a mise aussi sec dans la voiture pour Londres. Elle m'a emmenée rencontrer mon père... Et il a été bien obligé de tout lui raconter ! Et comme j'étais sorcière, je suis allée vivre chez mon père.

- Et chez Cressi la moche ! s'exclamèrent, à nouveau, les enfants en choeur.
Leur mère secoua simplement la tête, sans pouvoir retenir un sourire amusé.
- Et chez Cressida, oui. Ils avaient deux enfants.
- Tonton Orion !!! s'exclama-t-on à gauche.
- Et tante Rory! compléta-t-on à droite.
- Oui, c'est ça. Et du coup, j'ai grandi avec eux. Votre mamie n'avait pas le droit de venir me voir, mais elle m'avait offert un ordinateur, et on s'appelait presque tous les jours sur Skype !
Bien sûr que les enfants connaissaient Skype ! Eux aussi, ils en avaient, des appels avec leur mamie - bien qu'elle habite à moins d'une heure de route.
La mère passa sous silence le fait que, si en grandissant elle était très proche de son "grand-frère", ses relations avec sa demi-soeur avaient longtemps été très tendues - et ce, malgré sa joie initiale d'avoir une "soeur" de son âge.

- Et trois ans plus tard, tante Aurora et moi sommes entrées à Poudlard.
- Avec papaaaa ![/b] s'exclama-t-on à gauche (mais avez-vous seulement encore besoin que je précise ?)
- En même temps que votre père, oui. Mais à cette époque là, moi je ne le connaissais pas encore vraiment. Je suis allée à Gryffondor.
- Avec tonton Oriooon ! poursuivit le même enfant.
- Oui, c'est vrai que votre oncle Orion était à Gryffondor, lui aussi. Mais il était déjà en cinquième année quand je suis arrivée.
Et, fidèle à lui-même, son grand-frère, aujourd'hui auror, avait toujours veillé sur elle.
- Et avec Pantouflard ! s'amusa l'enfant de droite.
- Oui, Pantouflard. Ma belle-mère m'avait offert le hibou le plus paresseux du monde, et je l'ai appelé Pantouflard. Et puis, les années ont passé.
- Et toi et tante Ashlynn, vous laissiez jamais les gens faire les méchants pas beau ! s'exclama l'enfant de droite.
Sa mère sourit en hochant la tête.
- Et tu étais super bonne en astronomie ! renchérit l'enfant de droite et, à nouveau, sa mère hocha la tête.
Ils connaissaient l'histoire par coeur et, quand il était tard, on passait un peu plus vite sur certains passages. Surtout qu'il y avait des choses qu'elle et leur père ne leur raconteraient jamais - le genre de dangers qui avaient autrefois rôdé à Poudlard.

- Et puis un jour, en cinquième année, j'ai rencontré un beau jeune homme à l'anniversaire d'une amie de l'école. On a parlé et il était plutôt gentil ! Et puis quelques jours plus tard, il est venue me voir aux 3 balais...
- Et c'était un crapeau baveux ! s'exclama l'enfant de gauche.
Leur mère se remémora cette première rencontre désastreuse, à quel point l'adolescent qu'il était alors s'était montré lourdingue. Au point qu'elle passe ensuite plusieurs mois à l'éviter !
- On peut dire ça, oui.
- Diiiis maman ? Pourquoi papa il raconte jamais ça ? demanda l'enfant de droite.
La jeune femme rit à nouveau à cette question. Ca, c'était nouveau.
- Parce que ça l'embête un peu. Et puis, il s'est rattrappé après.
- Au dîner ?  poursuivit l'enfant.

Ce passage était loin d'être son préféré. C'était un souvenir un peu difficile, mais il était important qu'ils connaissent leur histoire. Elle acquiesca donc.
- Seraphina, la tante de votre papa, a organisé un repas chez elle. Et elle a invité toute notre famille, mais grand-père Alastair et tonton Orion avaient du travail ce soir-là. Et bien sûr, tante Séraphina était très, très méchante avec votre tante Agy - et très gentille avec votre tante Aurora.
L'enfant de droite se redressa en entendant le nom de sa marraine.
L'enfant de gauche, pour sa part, fronça les sourcils.
- Mais avec toi aussi, ils étaient méchants, les grands !
Elle hocha sobrement la tête.
- Mais pourquoooiii ?[/b] insista l'enfant.
- Parce que j'étais de sang-mêlé au sein d'une famille de sang-purs. Et parce Cressida se sentait insultée par ma naissance.
L'enfant hocha la tête avec gravité, avec un bruit qui signifiait sa compréhension.

[i]- Et alors tu as défendu tante Agy !
poursuivit-on à gauche.
- Oui, c'est vrai.
Elle n'avait même plus vraiment besoin de raconter : ses enfants connaissaient l'histoire par coeur.
- Et même que tante Rory arrêtait pas d'essayer de te faire taire ! Parce qu'en fait il fallait pas répondre ! ajouta-t-on à droite.
Il était vrai que Leo et Aurora n'avaient eu de cesse d'essayer de faire taire Cassiopeia, sans résultat.
- Et alors tante Seraphina elle t'a jeté un sort... ajouta-t-on à gauche.
- Et tante Rory elle t'a sauvée ! poursuivit-on à droite, avec une certaine fierté.
Et ils avaient raison - même si le protego d'Aurora n'avait de loin pas permis à sa demi-soeur d'échapper à la mort, ni même à la torture, mais à un sort bien plus conventionnel.
- Et Cressi la moche elle a fait sa méchante ! ajouta-t-on à gauche.
- Oui,  et après papa il a crié sur les adultes et il t'a emmenée !
- Mais vous savez tout par coeur, dites donc ! reprit leur mère.

- J'ai beaucoup parlé à votre père, ce soir-là. Je lui ai raconté comment Cressida était méchante avec moi. Et une fois de retour à l'école, on s'est encore parlés et on est devenus amis. Et finalement, on est devenus amoureux.
- Ouiiii ! Et un jour tu lui as envoyé une beuglante ! s'exclama l'enfant de gauche.
- Oui, c'est vrai.
- En étant somnambule... compléta l'enfant de droite.
- Oui, et pour un malentendu en plus... Voyez-vous, votre père avait très peur que sa famille - et Cressida - me fassent des problèmes... Alors, il faisait semblant de sortir avec une autre fille pour me protéger. Et moi, quand je l'ai appris, je n'ai pas compris qu'il faisait semblant et je me suis mise très en colère...
- Et quand on se couche en colère, on fait des bêtises ! rit l'enfant de gauche.
- Et à cause de ta beuglante, les parents de papa ils ont appris ! reprit l'enfant de droite, plus sérieusement.
- Et du coup, ses parents l'ont puni et il n'avait plus le droit de voir son petit frère et sa petite soeur, tante Agy et tonton Al.
- Mais après à la rentrée il pouvait vu qu'il était à l'école ! ajouta l'enfant de gauche.

- Tout à fait. Et du coup, on est quand même resté ensembles.
- Et après vous vous disez je t'aime ! reprit l'enfant de gauche.
- Diteuh ! protesta l'autre enfant.
- Oui, c'est vrai. Et puis, courant de la septième année...
- Vous vous aimiez tellement fort que ça a fait des bébés jumelles ![/b] reprit la petite fille sur la gauche.
[i]- Et même que t'as dû partir de l'école à Noël pour que personne le sache.
reprit la voix enfantine de droite.
- Oui ! Et puis après papa il t'a cherchée partout !
- Et il m'a trouvé chez mamie Leona, avec deux merveilleuses petites puces. J'essayais de les protéger de nos familles - et de le protéger de ses parents, aussi.

- Et après pépé et mémé Rookwood ils sont mourus ! Et du coup c'était plus dangereux pour papa !
- Morts pas mourus... reprit - vous vous en doutez, non ? - l'enfant de droite.
- Oui, ils étaient morts. Et donc, papa a commencé à travailler dans la boutique de mamie pour pouvoir s'occuper de tonton Al et tata Agy et, bien sûr, de nos deux princesses !
- Mais toi maman, tu faisais quoooiii ? demanda l'enfant de gauche.
- Tu veux dire, à part me trainer un ventre de 4 tonnes ? plaisanta sa mère. - J'écrivais un livre. Un livre d'astronomie sur les lunes de Jupiter.
- Trop bien ! admira l'enfant de droite.
- Et ensuite, on s'est mariés, on a vécu heureux, et on a eu plein d'autres bébés.
- Mais maman ! T'as pas raconté la super demande en mariage ! protesta sa soeur.
- Demain soir, ma puce ! Ce soir, il est trop tard. Il faut dormir.
- Tu promets, maman ? insista la petite fille.
- Promis.

Et la femme reborda ses enfants avec tendresse, les embrassa sur le front et redescendit voir le crapeau qui s'était transformé en prince charmant... Et qu'elle aimait plus encore avec chaque jour et chaque épreuve qui passait.

Et voilà comment se passaient nos couchers lorsque c'était notre mère qui nous racontait l'histoire du soir...
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